Q. Qu’est-ce qui vous motive à participer à la collecte des résidus alimentaires dans votre entreprise ?

Laurence Côté : L’implantation de la collecte des résidus alimentaires nous a permis d’optimiser nos ressources. C’est vraiment cela qui nous a motivé à participer. Nous voyons cela comme une responsabilité! Nous avons fait le saut car récupérer nos résidus alimentaires, c’est aligné avec notre mission et notre raison d’être, soit de rendre accessible une alimentation saine et d’optimiser l’utilisation des aliments. 

R. Jacques Dion : La collecte, c’est bon pour l’avenir, pour nos enfants et nos petits-enfants. Quand on regarde tout ce qui se passe dans le monde, je pense qu’on doit faire attention à notre planète et la collecte des résidus alimentaires permet de contribuer à ça. Pourquoi ne pas embarquer là-dedans? Ce n’est pas un choix à mon sens, il faut le faire.

Q. Comment percevez-vous l’implantation de cette nouvelle collecte en tant qu’employeur ?

Laurence Côté : De mon côté, je ne savais pas que c’était possible de participer à la collecte en étant une petite entreprise. L’implantation a été facile. La démarche avec la Ville, c’était super, nous avons eu un excellent service. Une conseillère nous a tout expliqué, fourni le matériel, c’est hyper facilitant pour les entreprises. À l’intérieur de 7 jours, j’avais tout ce qu’il me fallait pour commencer. Pour vrai, il n’y a pas beaucoup de raisons de ne pas participer à la collecte des résidus alimentaires. 

R. Jacques Dion : L’implantation a été facile. Ça ne change absolument rien. On met les sacs mauves dans le même bac que les ordures, c’est pareil. Ce n’est pas plus d’ouvrage pour les gens qui s’occupent de sortir les sacs à la fin de la journée. Où je travaillais avant, il y avait un petit bac brun. Il y avait des odeurs, il s’y ramassait des vers blancs et compagnie. Avec le sac mauve, c’est parfait. 

Q. Est-ce que votre milieu de travail a été réceptif (direction, clientèle, ou autre)?

Laurence Côté : Gravitant autour de notre entreprise, il y a les fournisseurs, les employés et les clients. Il a fallu adapter un peu nos méthodes de travail et la transition n’est pas encore parfaite. Pour moi c’est un peu le début car je veux aller plus loin que de simplement participer à la collecte : j’aimerais vraiment ça mesurer l’ensemble de nos activités, les tonnages qui rentrent et qui sont valorisés.

R. Jacques Dion : Il a fallu ajuster des choses mais ça a bien été. Ce n’est pas encore parfait à 100 % mais on y travaille.

Q. Que diriez-vous à une organisation qui hésiterait à participer à la collecte des résidus alimentaires ?

Laurent Côté : Je ne suis pas certaine de savoir pourquoi on hésiterait. Être un bon citoyen corporatif, ça contribue à tant de choses. Les gains à faire sont importants et cela implique très peu d’adaptation dans les méthodes de travail. Lorsqu’on utilise des infrastructures publiques, c’est une responsabilité corporative de gérer les produits de façon responsable. 

R. Jacques Dion : C’est l’avenir, on n’a pas le choix, il faut participer à cela.  

À tous les représentants des Industries, commerces et institutions (ICI), grâce à votre participation, la Ville de Québec est en mesure de valoriser des tonnes de résidus alimentaires qui s’ajoutent aux quantités déjà collectées par les citoyens et citoyennes. 

Merci de contribuer à une solution environnementale où l’on transforme les résidus alimentaires en énergie et en fertilisants pour l’agriculture!

Vous êtes un ICI et vous désirez participer à la collecte de résidus alimentaires? Consultez cette page pour en savoir plus et pour compléter l’inscription obligatoire.

Une équipe dédiée vous accompagnera dans l’implantation de la collecte dans votre ICI, en toute simplicité.